2022
07.13

13 juillet 2022, la Jumbo a osée renverser le Tour…

13 juillet 2022, Étape 11 – (Alberville / Col du Granon) : Sensationnelle étape entre Albertville et le Col du Granon. La Jumbo-Visma a harcelé et esseulé le maillot jaune Tadej Pogacar qui, dans la dernière ascension a explosé sous l’attaque de Jonas Vingegaard. Le coureur danois est monté seul, reprenant tout le monde au passage et prend la victoire d’étape ainsi que le maillot jaune. Romain Bardet signe une troisième place derrière Quitana, et devient le dauphin de Vingegaard.

 

Le Granon. Ce beau col. Pour moi à jamais si particulier… 😢

2022
07.09

#Bike’NTroc 2022


Résumé

BIKE & TROC FESTIVAL, le festival de la Loire 100% vélo !

Une belle journée VTT malgré un parcours en tout point identique à celui de l’an passé, et quelques couacs au niveau de l’organisation. Un peu dommage car cette épreuve aurait tout pour devenir une épreuve phare du calendrier Ligérien. Et parce que le terrain de jeux ne manque pas en ces hauts plateaux du Forez. Cela étant dit, nous étions deux en 2021, quatre cette année, et comptons bien être seize l’an prochain. Avis à tous les Squadra qui passeraient par là !!!

Les vastes étendues des Hautes-Chaumes sont un spectacle…

Mais c’est dans la fraicheur des sous-bois que nous avons préféré !!!

Le climat rude des Hautes-Chaumes (site classé Natura 2000 / env. 12.000 ha) ne permet pas d’y habiter à l’année. Les troupeaux de vaches y montent en estive durant 5 mois. Le lait produit était transformé sur place en fromage (fourme) pour être conservé puis descendu dans les villages à la fin de l’estive. Des bâtiments en dur (jasseries ou burons) sont construits à partir de la fin du XVIIIème siècle pour la vie pastorale durant l’estive. La mutation de l’agriculture dans les années 50 entraîne un abandon progressif des exploitations traditionnelles. Les jasseries ont ainsi presque toutes perdu leur vocation agricole durant les 30 dernières années. Elles servent aujourd’hui de refuges, de gîtes d’étape, d’auberges (Garnier, Coq Noir) mais sont majoritairement privées et fermées au public. (Hélios-Drone)

 


Fiche

Descriptif :

GPX : #BikeAndTrocFestival
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Départ : Chalmazel (42920)
Difficulté : Moyenne
Distance : 78 km / D+ :  1930m
Durée : 6 heures 53
Sport : Cyclisme VTT

 

2022
07.03

« La Marmotte 2022 »


Résumé

Cette année encore, mon frangin m’accompagne pour aider à la logistique. Il parait que l’on se ressemble. De vrais jumeaux…

Et voilà, c’est fait. J’ai échoué. Un bel échec après celui du Solstice, il y a tout juste 15jours. Deux échecs consécutifs sur deux épreuves aux parcours qui auraient du être mythiques. Deux échecs certainement un peu liés…

On ne peut pourtant pas dire que je ne m’y étais pas préparé. 2012, 2022. 10 ans d’entrainement, plus d’expériences…et de confiance. Quelques années en plus aussi. Qui ont certainement peu à peu eu raison de la niaque de mes débuts… Car si je pouvais rouler des heures le rouge au front et le coeur aux tempes, je ne le peux plus. J’ai peur. Peur d’y rester. De plus en plus. Et c’est terrible… 😉

Donc la Marmotte 2022, quésaco ? Une édition d’anniversaire un peu spéciale puisqu’il nous est proposé de rajouter au parcours classique la fin du col de Sarenne et une deuxième montée de l’Alpes. Une idée un peu folle mais qui méritait d’être tentée. Au moins, il n’y aura pas le regret de ne pas avoir essayé 🙂 !!! Un format ultra de 225km et 6 300m de D+, ouvert à 500 participants. Nous n’étions que 350…

Cols : Col du glandon 24.1km 4.78%, Col du Télégraphe 11.5km 7.3%, Col du Galibier 17.6km 7%, Alpe d’Huez 13km 8%

Pour cette édition longue, le départ se fait à une heure où le soleil n’est pas encore levé. Nous sommes en petit commité, ça parle milles langues autour de moi, et même si je ne suis pas très en forme je suis bien content d’être là. L’excitation des départs, la tension adroitement installé par le speaker. Très bientôt, une longue route se dressera devant nous. Faite de cols mythiques et de paysages exceptionnels. L’Oisans. La Maurienne. Le Galibier. Autant de légendes inscrites profondément dans notre inconscient.

5h, c’est parti. A mon grand étonnement, ça part cool, dans les longues lignes droites menant à Allemond, puis les premières rampes du Glandon. Le jour se lève et entre les bruits des vitesses qui s’échangent, je profite à plein poumon de cette belle grimpée du Glandon. Sauvage. Déserte. Entourés par ces Géants bienveillants. A l’approche des cimes, la roche soudain se pare d’or. J’en ai le souffle coupé…

Col du Glandon, la première partie dans les profondeurs des montagnes…

Avant que le paysage ne change, au détour d’un barrage. Une vue grandiose sur le lac et les sommets escarpés. Ce n’est certes pas mon premier Glandon. Mais j’en suis encore une fois tout retourné…

Sommet du Glandon, en 2h et 06 minutes depuis Bourg d’Oisans. J’ai consulté mes archives. C’est 6 minutes de plus qu’en 2012 où nous étions partis comme des bourrins. Je ne peux qu’être satisfait de cette montée !

Vallée de la Maurienne. C’est une cyclo mais j’ai mal géré mon coup. Après une longue descente technique et sinueuse, j’ai fini par m’isoler. Et c’est tout seul vent de face que je ferai l’intégralité de la vallée. De nombreuses cartouches inutilement gaspillées… Mais voici déjà le Télégraphe, et sa belle route pas trop pentue… Une chance, car la chaleur se fait présente…

Sommet du Glandon, 4h40 depuis Bourg d’Oisans. C’est 14 minutes de moins qu’en 2012 soit 20 minutes de reprise depuis le Glandon. Il est vrai que j’ai beaucoup progressé au plat et en descente depuis mes jeunes années. Mais quand même. Je me surprend !

Fort de cette avance inattendue, je m’assois un moment au ravitaillement de Valloire. Il y a des chips, des Monster-Munch, des bananes, des oranges et des barres de la marque Jaune. Jambon et fromage sont les grands absent. C’est dommage. Mais c’est une course !!! Enfin une course. Je discute quelques instant avec une dame très gentille qui découvre la région pour la première fois. Elle peine apparemment à cacher son enthousiasme. Tout comme moi… 🙂

Mais nous voici déjà repartis. Sur les pentes ardues du Géant des Alpes. Un colosse. Est-ce Hydrus, est-ce Gaius ? Je me sens d’un coup comme Ico tout frêle dans cete joute inégale… Ployant dangereusement face à cette brutalité et les assauts répétés de l’Astre. Je m’accroche mais les crampes sont proches et le réservoir est vide. Vaincu. Mon final difficile au Solstice et la trop courte récupération ne m’ont pas permis de refaire les stocks. Je coince, mais ne me plains pas. Participer à cette Marmotte était si fortement compromis au mois d’avril lorsque cette mauvaise tendinite m’avait frappée. Cette tendinite, je la traine toujours. Comme une veille amie, elle me ralentie, et voyage avec moi. Quelques mètres encore, dernier effort. J’évite de regarder les cohortes de cyclistes me déposer. Me concentrant sur ce lieux et cet instant que je perçois déjà trop bref…

Le Galibier ne peut laisser longtemps indifférent. Il est beau et rude et comme les montagnes des contes pour enfant. On s’y s’en tour à tour petit. Et soudain si vivant…

Grimper un col. Aller au bout de soi. Consentir cet effort dans l’unique optique d’un complet relachement…

Je cache mon jeu. En vrai, j’ai des crampes dans les deux mollets…

Col du Galibier, 6h 47 d’efforts. C’est trois minutes de plus qu’en 2012. Le confortable matelas acquis dans la vallée et le Télégraphe vient de subir le même sort que ces glaciers qui devraient nous entourer… L’heure est à l’impuissante reculade…

Le Lautaret, cette longue descente vers la Romanche… La turquoise du lac Chambon. Les tunnels désormais très bien éclairés. Me voici déjà à Bourg d’Oisans. Ces premières rampes. Terribles. Ces premiers virages. Suffocant. Je coince et re-coince. Je suis devenu le cyclo le plus lent que cette Terre est portée. Le coup de chaud et le plomb accroché aux soquettes. Je baisse la tête mais rien rien n’y fait. Je suis une coquille vide. En 34×32. C’est quatres dents de plus qu’il y a 10ans et ce n’ai pourtant pas assez. L’Alpes. Cette montée mythique que je maudis. Pourquoi Hollandais n’en avez vous que pour elle. Quand l’on vient du Glandon. Quand on vient du Galibier. L’Alpes c’est grimper l’échelle alors que nous virvoltions au tronc des arbres. Mon cerveau en ébullition. Des chiffres. Encore et toujours ces chiffres. L’Alpe. C’est 21 virages,  13km, 8% de moyenne. 44 degré Celcius au plus chaud de la pente. C’est des spectateurs qui aujourd’hui pour nous suivre n’ont pas besoin de beaucoup courir. C’est un dernier combat. La voiture garé en bas. Mais une bribe de fierté pendue la haut. C’est interdit de s’arrêter. Alors on continu. Même si c’est mort…

Sommet de l’Alpe, après 10h23. C’est 1 heure et 10 minutes de plus qu’en 2012. 2heures et 10 minutes à lutter face à l’insolation et la panne d’énergie.

Pas de deuxième Alpe. Je termine la première irrémédiablement occis. Mon amour du vélo en ayant pris un sérieux coup… Il me faudra du temps je crois pour rebondir. D’autant que de cette Marmotte un peu trop pompeuse je n’ai pas tout aimé. Une impression désagréable de pompe à fric et aussi parfois de m’as-tu vu ? De la peine pour ces bénévoles jugée pas assez rapide. C’est à cause d’eux ta 4257ième place ? Pauvre buse. Si t’étais pas si fort et si je n’étais pas si maigre je te fouterai bien deux claques. Bref. Cessons cette mauvaise fois de mauvais perdant. J’ai échoué. Et je sais pour quoi. A vouloir se faire aussi gros que le boeuf on fini forcément par se bruler les ailes. L’essentiel est pourtant sauf. Un beau week-end. Partagé en compagnie du frangin. Un beau parcours. De milles émotions mêlées…

Randonnée, la Cascade de la Fare (la veille)

Randonnée, la Cascade de la Fare, en arrière plan, le Sabot (la veille)

Randonnée, l’Enversin d’Oz (le lendemain)

Sur le même thème
 » La Marmotte 2012 « 
  » L’autre Marmotte 2017 « 
 » L’AlterNAtive Marmotte 2021 « 


Fiche

 

Descriptif :

Cyclosportive : La Marmotte 2022
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Isère
Ville de départ :  Bourg-d’Oisans (38520)
Difficulté : Haute
Distance : 175km / Dénivelé : 5000m
Durée : 10 heures 23 minutes
Sport : Cyclisme Route

 

2022
06.18

#SoPhareAway… Tri-Angle pour un SolStice


Résumé

Et voici le parcours du Ride au SolStice qui nous fera découvrir les recoins secrets d’une petite contrée nommée Forez… A quelques jours du solstice d’été, une trace à tire-d’ailes entre les trois grand Phares qui veillent… Crêt de l’Oeillon, Mont Boussuivre, Pierre-sur-Haute… Trois singularités à lier sous un triangle parfait… »

« La houle, je la scrute longuement, creux et crêtes, jusqu’à perdre repère et flotter, léger vertige. Les vagues virent au bleu pétrole à la vertu du crépuscule, le mistral hausse le ton, ça moutonne aux franges, à monter, à descendre – et à la lisière de l’écume, quelque chose, furtivement, scintille et passe… J’ai la respiration coupée. » (So phare away, Damasio)

La météo de ce 18 juin 2022, je ne prendrais pas les jambières… Etre au départ sera amplement suffisant…

Ce matin, j’ai retrouvé Laurent à Saint Just, à l’heure que nous avions convenu.

Il était cinq heures, et les températures déjà douces.

La nuit, elle, commençait à se dissiper.

Nous roulions.

En doublette, vers Saint&.

Un premier secteur urbain, mais déserté.

La Terrasse, Stade, Steel et la moins belle Terrenoire.

Ville Verte se dérobant soudain par la magie d’une route touristique.

Saint Ch’mond, Saint Ch’mond, oubliant les 2 minutes d’arrêt.

Nous entamions, pressés, la première ascension.

A mouche que veux-tu. D’un Planil minéral.

Au sommet du col du Planil, se faire cadran solaire dans la lumière déjà brûlante…

Croix de Bois, Croix de Fer, si les mouches s’amourachent, les collants cyclos tuent-mouches…

Nous n’atteindrons jamais Doizieux.

J’avais choisi l’option découverte par le hameau des Freysses.

Une belle route, étroite, rugueuse et pentue comme on en trouvera beaucoup.

Laurent n’a jamais roulé le Pilat. J’espère que celà lui plaira.

Menuiserie où flotte l’odeur du bois. Voici les Scies.

Remonter 2 dents, forcer les guibolles.

L’Oeillon est un pur et dure.

Affliction heureuse 😈

 

Aigrette n°1, Crêt de l’Oeillon, 1364m
Depuis Doizieux, par les Freysses : +13,7km / D+ 780m

Crêt de l’Oeillon, que Laurent voulut voir de plus près. Dommage qu’avec cette canicule le ciel soit aussi voilé. Le spectaculaire panorama auquel nous aurions du assister restera caché. En reste une pause bien méritée. Et cette discussion enflammée, sur cette société qui finira par nous tuer. » Demain, il fera chaud. Restez chez vous ! Buvez ! Bougez ! Ralentissez ! Fuyez le gras et le sucré … « 

Un peu beaucoup cinglés, nous sommes partis quand même. A nos risques et périls. Juste pour hisser bien haut Jolly Roger. Sur ce mat qui surplombe mon Pilat, comme un majeur debout et bien droit.  « Sur la côte des naufrageurs, j’ai rêvé, enfant, ma vie d’homme comme un grand défricheur. Je cherchais les épaves au trésor. J’étais pirate autour d’un feu de bois flotté. Je regardais le ciel à l’envers dans les miroirs de lune. Au matin, je tenais le monde dans une poignée de sable que le vent éparpillait. Mes secrets dormaient au pied des citadelles et dans le creux des dunes. «  Bernard Giraudeau

La table d’orientation de l’Oeillon. De là, nous pouvions appréhender l’Aventure dans laquelle nous nous étions engagés. Relier l’Oeillon, le Mont Boussuivre et Pierre-sur-Haute. A tire d’ailes, avec parfois quelques surprises, parfois bonnes, souvent mauvaises… 😉

Une aigrette sur le crâne, dans la descente nous avons plongés.

Surpris de l’affluence qui innondait l’Oeillon.

Aujourd’hui. C’est Air de Fêtes.

Et j’avais prévenu…

Le Jarez. Jarez de faire. Et poigne d’acier.

En Cellieu, mes encouragements à vous les fous.

Arrf… Sauce barbecue ? Ou bien moutarde. Rupture !

Chagnon, Saint Romain, au loin, un calvaire, et des vergers.

Nous sommes aux fondations. Terrible mur Gauthier.

A la peine. Arc-Bouté ! Fil vert Bouton vert.

Ce pont. Nous le ferons sauter.

Sous un grand arbre ombrageux, un Fred tout frais nous attendait… Derrière ce mur que Fred avait pourtant reconnu. Et qu’il considérait. Comme une gourmandise dont il ne faudrait pas abuser… Malin le Fred ! Et toujours fidèle aux belles mécaniques.  Kona émaillé rouge …

Le village de Lamure est vidé de ses habitants. Qui derrière façades surchauffées et volets clos, chante l’harmonica…

Sainte Foy-l’Argentière n’était pas sur la trace. Mais le Vival d’Aveize étant fermé, nous avons du nous adapter. Il est 14heures, et le Soleil de plus en plus implacable. Une boulangerie. Une boulangère aux joues brillantes. Nous aurions bien eu besoin d’un peu d’essence pour le moteur. Mais les quiches et tartelettes étaient devenues bien plus abordables…

Le circuit pavés de Souzy.  Pétard ! Entre les vibreurs, quelques jurons… Exit les pavés. Place à cette langue nutella dont la palme enduit nos basques… Fred, Laurent seront d’accord. Mes alertes répétées sur ce secteur n’étaient point sottises. 150 kilomètres de sueur et d’efforts. Mais nous en voilà sortis. Des Auberges. Nous partagerons ce verre, à l’ombre des parasols… Parviendrons nous à convaincre Fred, de continuer un peu … ?

Et Fred continuera un peu…

Jusqu’à la Tour, où une première aigrette l’attendrait.

 Caressées tout en haut de la piste, au coeur d’une jolie clairière.

Les aigrettes sont l’atour des Grands-Ducs.

Plumes sans fonctions sensorielles.

Elles impressionnenent.

Les Fiers-à-💪

 

Aigrette n°2, Mont Boussuivre, 1004m (Piste)
Depuis la Croix Casard : +1,7km / D+ 135m

Allongés dans l’herbe verte de la clairière, écrin magnifique à la Tour Matagrin… Et bien qu’en retard sur nos prévisions, nous n’étions pas très pressés de repartir… Savourant l’instant. Notre parcours faisait écho à l’origine du site. Points de triangulation de la France au moment les cartes furent établies. Une borne en pierre de l’époque napoléonienne insérée dans la maçonnerie de la tour pour en témoigner.

Et Fred continuera un peu…

Depuis la Tour vers Néronde, puis Balbigny.

 En formation nous roulions. Face au Grand Sèche-Cheveux,

Qui donne la couleur des blés. Encore une journée passée à rien penser…

Courir, pédaler, glisser, voler… Et un jour oublier …

Tout. Tout. Mais pas cette journée.

Passée avec la Compagnie.

SolStice Heureux.

Boen-sur-Lignon. Laurent est cuit. Et moi aussi.

Coup-de-Chaleur ? Désydratation ?

La plèbe avait raison.

Défiance, et vain vin les raisins secs.

Gisant sur le bitume nous égouttions. Dernier repas.

William lui était en route. Vers Pierre-sur-Haute.

Amis, famille, enfants compris.

Equinoxe Joyeux.

 

Croix Ladret.

J’ai l’estomac noué.

Au sens propre et figuré.

Alors je m’accroche. Dans la roue de

Laurent qui, indulgent, m’attend.

Maillot noir et vert. Voilà Flo.

Venu à notre rencontre.

Equateur radieux.

 

Chalmazel, les feux scintillent.

Laissant les passants incrédules devant la chevauchée.

Ne pas renoncer. Braver le Béal dans cette la tempête.

Serrer bien fort le cintre. Cintrer la tête.

Laisser en bas le raisonnable.

Franchir la cîme.

Bénir Flo 🙏

 

Aigrette n°3, Pierre-sur-Haute, 1634m
Depuis le carrefour des Pinasses : + 10,3km / D+ 560m

Au sommet du Col du Béal, Flo avait garé son camping-car. Le ravitaillement sur la table était posé. William et sa famille à quelques mètres dans la tempête bivouaquait….

 

Finalement.

Rattrapé par notre amitié.

S’adoucir. S’assagir. Serait-ce renoncer ?

Accepter l’aide généreuse. D’un…

SolStice ambitieux…

 

Pierre-sur-Haute, 1h du matin, troisième et dernier sommet de cette sortie pas comme les autres… Les raffales ne nous permettront pas d’aller plus loin… Avec un petit goût amer d’inachevé, nous rentrerons en camping-car… Un grand merci à toi, Flo, de nous avoir épargné un final qui certainement aurait été dangereux et éprouvant… A celles et ceux qui aimeraient montrer qu’il est possible d’aller au bout, le parcours est là 😉 …

 

GPX (https://www.openrunner.com/r/14733201) …

 

 

2019…2020…2021…

Tour VTT du Triangle de la Burle ... (Guillaume, vidéo Jeanne Lepoix)
Nouvelle édition en 2022. Pour les inscriptions, c'est ici.

La Fabuleuse Histoire du Tour des Brasseries de la Loire… (Guillaume)…
...

#LeTourDesA.R.B.R.E.S.RemarquablesDeHaute-Loire… (Laurent)
...

#TDSDME… Le Tour des Sentiers de mon enfance...(William)
...

2022
06.11

100ans de montées Velocio 🎂‼️

Vélocio vous attend !
Amis cyclistes, amoureux du vélo, sportifs, fidèles, jeunes, seniors… venez partager votre passion en participant aux 100 ans de la Journée Vélocio.

Samedi 11 juin, montée vintage à 9h30 :
Vous avez un vélo ancien ainsi que la tenue adéquate, venez rejoindre le groupe de cyclistes sur des « vieux vélos » pour une montée historique.
Départ groupé du rond point vélocio. Arrivée Col de la République.

 

Pour l’annecdote, on notera que les photos visibles ci-dessous ont été prises par Christophe, à qui j’avais racheté le vélo en 2016, et qui apparemment était très content de le voir après tout ce temps rouler à nouveau !!!

A voir aussi, DeLorean, ou un Retour vers le Futur

2022
06.04

#MontéeDePierreSurHaute…☀️


Résumé

Vague, vague, vague, mille fois mille vaincue, mille fois mille dressée et déversée : vive la vague verte, mille fois immortelle. Cette vague flou. Ce souvenir vague…

Avec Ju et Alex, Nico et Régis en éclaireurs, nous avons laissé partir les pressés devant et pu, fermant la marche, profiter pleinement de la terrasse et des chaises « longues » que le cyclo club Montbrisonais avait eu la bonne idée d’installer au sommet. Une prévenance appréciée, une belle journée, quelques couleurs…. 🙂⛱️


Parcours

Descriptif :

GPX : #MontéeDePierreSurHaute 2022
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Saint Just Saint Rambert (42170)
Difficulté : Moyenne
Distance : 175km / Dénivelé : 2900 m
Durée : 8 heures
Sport : Cyclisme Route

 

2022
05.27

#TdF22-Etp14, Saint Etienne / Mende (et retour)


Saint Etienne / Mende

En suivant l’étape 14 du Tour (16 juillet 2022)

Commentaire de Christian Prudhomme : « On ne culmine jamais très haut, mais les efforts sont incessants pour rallier Saint Etienne à Mende. Cette expédition à travers la Loire, la Haute-Loire et la Lozère incitera les baroudeurs les plus robustes à passer à l’action. Puis dans l’ascension de la Croix Neuve (Montée Jalabert) menant à l’aérodrome, c’est certainement un double combat qui se prépare : entre les échappés, et ensuite, au sein du groupe des favoris ». A ces paroles de Christian Prudhomme, je peux répondre. Le combat contre moi-même fut aujourd’hui bien plus grand 😉 !

La claque visuelle, lorsque j’ai cru un instant apercevoir « Le Nouveau monde »

Drôle de nom pour ce petit village niché dans les méandres de l’Allier. Mais quel paysage ! Ce village créé de toute pièce par les ouvriers qui ont bâti la voie ferrée et l’impressionnant viaduc, et qui s’y sont finalement installés. Comme je les comprend.

Le corps est cet arbre riche du fruit de nos sens qui nous rendent si sensibles à l’émerveillement.

Les saisons se suivent mais ne se ressemblent pas.

Sachons savourer. Une récolte si généreuse.

Le Chapeauroux est le principal affluent du haut Allier qu’il rejoint dans les profondeurs de gorges encaissées. De ce point de rencontre, le Nouveau Monde. Je suivrai son cours quelque temps avant de lui préférer le Grandrieu, dans les entournures de Laval-Atger. Au doux son du clapotis de l’eau, faire du vélo en pente douce…

Laissant cette fois définitivement derrière moi l’aspect parfois austère et volcanique de certains villages du Sud-Le Puy (Séneujols, Cayres ou le Bouchet Saint Nicolas), je me régale maintenant des paysages typiques des hauts plateaux du massif central, étendues immenses et verdoyantes au sein desquelles sillonnent d’innombrables ruisseaux.

A Chateauneuf-de-Randon, je vire à droite par le lieu-dit de la Fage. Une succession de bosses irrégulières et raides qui me décomposent. Le tracé proposé pour cette étape n’est pas celui d’une simple course. Il est avant tout celui d’un ravissement, qui se déroule en crescendo.

Entre le Lac de Charpal et Laubert, cette impression d’être perdu quelques parts dans l’immensité des forêts canadiennes, happé soudain par les spécificités du Pays de Lozère. Odeur de genets et spectacles des pierres rondes longuement polies par d’infatigables vents.

Je plonge sur Mende conspuant l’exécrable N88 qui vient de me rappeler brusquement à la réalité du monde mécanique. Ce n’est toutefois pas fini. Une dernière montée m’attend. Celle-là même où Laurent Jalabert avait écrit en 1995 une page de son impressionnant palmarès. Un improbable exploit. Réalisé après 198km d’échappée. D’une étape qui reliait alors. Saint Etienne à Mende.

Mende, vu depuis la montée de la Croix Neuve

 

Sur le thème Lozère
Tour de Lozère Historique (2019)
Sur la trace de Stevenson (2020)
Demain c’est loin (2021)

 

Mende / Saint Etienne

Ou comment rendre le chemin du retour moins pénible qu’un retour en train.

Voilà. Je suis à Mende. L’une de ces nombreuses contrées montagneuses et isolées où les transports en commun n’ont rien de bien commun. Une seule ligne de voie ferrée. Partant du Monastier pour relier, par Mende, la Bastide-Saint-Laurent-les-Bains. Longue de 77km, certain la surnomme Translozérienne, tandis que d’autre préfère parler de « ligne du toit de la France » (1215m d’altitude par endroit). Une ligne unique filant d’Ouest en Est, ce qui, avouons-le, ne m’est strictement d’aucune utilité.

Ce retour, je ne vais donc pas avoir le choix que de le réaliser à vélo. Et c’est d’une certaine manière bien mieux ainsi. Car si hier je m’étais engagé à suivre aussi fidèlement que possible le tracé de l’étape du Tour (merci Nicolas !), je vais aujourd’hui pouvoir laisser libre cours à mes envies. Et aujourd’hui j’ai particulièrement envie de retourner voir les exceptionnelles Gorges de l’Enfer qui à la sortie de Marvejols vous conduisent merveilleusement vers les rudes plateaux de l’Aubrac. L’Aubrac. Ses vaches, ses plateaux pelés, ses vents qui vous cinglent le corps entier et balayent toutes idées noires. L’Aubrac. Ses nombreux promeneurs faisant chemin Saint Jacques. Ses vans et ses motos dont le nombre en augmentation constante commencent sérieusement à me les b*****….





En prenant mon temps, j’ai roulé, toute la sainte journée. Tenant tête au vent. Fluide tournoyant formant le cap. Il m’était devenu impossible de m’égarer. Plus laminaire que tournoyant, je reconnaissais ici et là un endroit que j’avais pu découvrir il y a deux ans lorsque j’étais venu ici me mettre au vert. Quelques jours seulement avant les « 7Majeurs », le bien que cela me fit.

Parcourant ensuite les belles routes boisées de la Margeride. Cette terre secrète faite de silences et de murmures. Un pays authentiquement préservé et sur lequel semble encore parfois planer, l’esprit de la bête. Route de la bête, auberge de la bête, repère de bête. La Bestia. Est elle blonde ? Et la bois tu ?

Fatigué des efforts consentis, à Esplantas-Vazeilles je me suis longuement arrêté. A l’eau désaltérante et limpide d’un vieux bachat. Le Soleil était pourtant haut mais le vent soufflait cette fraîcheur qui par moment me faisait frissonner. Je me sentais si bien.

Bientôt je serais à Saugues où je prendrais à droite en direction des Gorges de l’Allier. Ces gorges, je les ai atteintes de la plus belle des manières qui soit. Depuis la route du Puy où je suivais un grumier, j’ai failli rater l’intersection qui en contrebas de la route plongeait. De beaux lacets très pentus. D’indescriptibles roches noires probablement sortit tout droit des forges de la Terre. Et tout au fond coulait le sauvage Allier. Je découvris un petit coin de paradis appelé Monistrol-d’Allier.

Remonter des gorges en direction de Saint Privat-d’Allier, quitter de nouveau la grande route pour se rendre au Puy par Vergezac ou Sanssac-l’Eglise. De loin, j’ai salué la remarquable « Pinatelle du Zouave », et ses arbres biscornus issus du meilleur Tolkien. Il était 15h30. Je me trouvais déjà au Puy où le train pourrait m’attendre. Car heureux de cette journée fort plaisante, je venais de décider d’en remettre un peu, par la route des Gorges de la Loire et sa variante plus « sauvages »…

Voici qui était fait. Je retrouvais ma voiture que j’avais garé place Jean Gapiand. Lieu de départ de prochaines idées folles ?


Fiche

 

Descriptif :

GPX : Saint Etienne/Mende (Aller) / (Retour)
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Départ : Saint Just-Saint Rambert (42170)
Difficulté : Moyenne
Distance : 210+240km / D+ : 3638m + 3457m
Durée : 9h15 + 11h09
Sport : Cyclisme Route

2022
05.21

#BRM400-Feurs


Résumé

La fine équipe : Philippe, Marie-Claude, votre serviteur, Jean-Jacques pour qui c’était le premier, Nicolas, Paulo et René. Notons également la présence de Daniel, Joëlle et Gilles derrière l’objectif et qui ont réalisé leur 400 quelques jours auparavant, emmenant un autre néophyte connu sous le surnom du Colombien de Saint Cyr… Absent également Christophe qui s’il n’a pu boucler l’intégralité du parcours en a pourtant réalisé l’essentiel. J’ai l’habitude de voir le verre à moitié plein. Et il était plus sage d’arrêter. Pour moi donc, il a réussi.

C’était un 19mai 2018… A l’époque, Christian m’avait entrainé dans son monde fait de sortie au long cours et de récit passionné… Depuis ? Un autre brevet de 400km dont nous frissonnons encore lorsque nous l’évoquons, et puis un Paris-Brest. Que dis-je. Le Paris-Brest. Epreuve qui nous aura tant marquée que nous ne pensons aujourd’hui qu’à assurer la qualif’ du prochain.

Entre nous tous, Jean-Jacques est certainement celui pour qui ce 400 représentait le plus gros challenge. Entrainé par son frère et par tout le groupe, le voici embrigadé dans une sortie qui va l’entraîner jusqu’à la pointe Sud du Morvan, puis, après avoir traverser les interminables lignes droites de l’Allier, à défier Arfeuilles et ses lacets maudits… Sauf que Jean-Jacques le vététiste roule et grimpe comme un Maugé. Les lacets maudits d’Arfeuilles ne furent pour lui qu’une formalité…

Alors oui. Sur ce brevet nous avons eu chaud. Et certains plus que d’autres en ont même souffert. Mais ceux qui se rappelent du froid de Gillonnay, de cette pluie qui ne nous avait pas laché, ont adoré. La chaleur. C’est se faire dorer la pilule. C’est remplir des tubes et des tubes de vitamines D. C’est saisir sa photoélecticité pour s’en alimenter… Bref. C’est un coup de chaud assuré. Alors quand la fraicheur du soir sur nous s’est délicatement posée. Nous l’avons encensée. Et nous sommes mis à rêver. De ce nouveau défi réussi.

La tombée du jour est peut être ce que nous attendions le plus. Une respiration. Et un enchantement.

Saint Just-en-Chevalet. Cette année, bar et restaurant sont fermés. Nous nous contenterons d’une photo pour immortaliser notre passage. Un souvenir pour nous de cette belle nuit.

 En ce jour de Brevet, j’adresse ici tous mes voeux de réussite à Mickaël qui après le 600 de Roanne, s’envolera pour Londres pour le non moins mythique Londres-Edimbourg-Londres. Que la force soit avec lui …


Parcours et profil

Carte non remise à jour, mais la remontée par Savigny, Sarcey et Saint Romain de Popey est bien évidemment devenu le standard validé par tous…

 


Fiche

Descriptif :

GPX : #BRM400, Feurs
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Départ : Feurs (42110)
Difficulté : Haute
Distance : 415 km / D+ :  4300m
Durée : 20 heures 09
Sport : Cyclisme Route

N° Homologation
:
200 = 840163 / 300 = 290041 / 400 = 199047

 

2022
05.15

#DindesDeL’Oeillon 2022… 🦃🦃🦃🦃🦃


Résumé

2016_Dindes_ban

Ca  y est, les Dindes reviennent 🦃🍽️🤗 … !!!

Ma dernière participation officielle remonte à 2017 si l’on excepte l’an dernier où j’avais mis à profit une douce journée d’août pour m’offrir gracieusement ce parcours mythique. Mais cette année, plusieurs choses ont changées. Le lieu de départ tout d’abord qui sera donné sur l’ancien stade de Saint Paul-en-Jarez. Les parcours ensuite puisque nous aurons droit aux toutes dernières moutures… Et à une très belle surprise en numéro 4. A la compagnie enfin puisque Alexis et Nicolas tenteront eux aussi d’accrocher les Dindes…

Avec Alexis, au départ de cette nouvelle édition…

 

Avoir l’Oeillon en vue est une chose, l’avoir sous tous ses angles, l’un après l’autre, en est une autre. Ce parcours m’a toujours enflammé. L’organisation m’a toujours inspirée. Le défi présenté m’a toujours fait tremblé… Cette année, Alexis (5) et Nicolas (4) auront je crois, partagé cette impression. Bravo à Alex pour ce grand Chelem qu’il est allé chercher au bout de lui-même. Bravo à Nico qui plus raisonnable a su profiter sans compromettre sa participation au BRM400 de Feurs le weekend suivant. Bravo à tous les organisateurs. Car si l’un où l’autre m’ont dit avoir reconnu une tête connue, je leur retournerais bien volontier le compliment. L’équipe n’a pas tellement changée. La bonne humeur dans laquelle cette épreuve est organisée non plus. Et c’est top. Alors je reviendrais encore. Vérifier que l’Oeillon tient bien toujours sa place. De Roi du Petit Pilat.

Cinq Oeillon que nous irons chercher…


Parcours

Ces nouvelles Dindes sont une réussite. La montée 4 en particulier qui amène un petit coté fraîcheur à l’épreuve en s’autorisant une petite incartade sur le réseau des routes oubliées… !

Descriptif :SAMSUNG DIGITAL CAMERA

GPX : #DindesDeL’Oeillon
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Saint Paul en Jarez (42740)
Difficulté : Haute
Distance : 204km / Dénivelé : 5047 m
Durée : 10 heures 17
Sport : Cyclisme Route

Les Dindes ?

Les Dindes, doux euphémisme de Dingues, sont des Cyclos qui, non content d’avoir réalisé l’ascension de l’Oeillon, désirent y retourner plusieurs fois dans la même journée.

La Dinde de l’Oeillon est donc par certain aspect, un cousin du Cinglé du Ventoux, ou encore du Fêlé du Grand Colombier.

Bien que rare (une trentaine par an seulement arrive à maturité), leur population tend à croître et le comportement de certains spécimens n’y est certainement pas étranger…

Mais tandis que certaines Dindes apprennent, les autres persévèrent !
D’autres encore, le deviennent…

Or = 5 Oeillon / Argent = 4 Oeillon / Bronze = 3 Oeillon / Chocolat = 2 Oeillon.

 

2022
05.09

#SoPhareAway, la reconnaissance du SolStice…


Le projet

« Oyez ! Oyez ! braves gens, damoiselles et damoiseaux ! Cyclottes et cyclos de tout horizons et que rien n’effraie… La reconnaissance du Ride au Solstice est désormais terminée. Et voici un parcours qu’il serait bien difficile de résumer tant il revêt milles facettes qui vous feront découvrir les recoins secrets d’une petite contrée nommée Forez… Programmé à quelques jours du solstice d’été (18&19juin), une trace à tire-d’ailes entre les trois grand Phares qui veillent… Crêt de l’Oeillon, Mont Boussuivre, Pierre-sur-Haute… Trois singularités que je vous invite à venir lier sous un triangle parfait… »

Triangle de base : 260km / D+ 4600
Aigrette n°1, Crêt de l’Oeillon, 1364m
Depuis Doizieux, par les Freysses : +13,7km / D+ 780m
Aigrette n°2, Mont Boussuivre, 1004m (Piste)
Depuis la Croix Casard : +1,7km / D+ 135m
Aigrette n°3, Pierre-sur-Haute, 1634m
Depuis le carrefour des Pinasses : + 10,3km / D+ 560m

Distinction honorifique, « Grand Duc du Forez » : 3 aigrettes validées (photo au sommet, avec ou sans grimaces), 300km et 6000m de D+.

Trace GPX (https://www.openrunner.com/r/14733201) …
Possibilité de couper la poire en deux comme lors des reco’…

 

Départ : 18juin, 5h.
1 place Jean Gapiand, 42170 Saint Just Saint Rambert.
Parcours libre et en autonomie.


Les reconnaissances

« La Magie de Lucie », la magie d’un SolStice 😉

« Si dans la tradition stéphanoise le babet était la pomme de pin qui servait à allumer le feu dans les foyers les plus modestes en hiver, plus largement et dans l’imaginaire collectif ce fruit a toujours été le trait d’union entre matériel et spirituel. Ce trésor si précieux qu’elle vient de découvrir lui apparaît autant comme quelque chose de réconfortant que comme une clef vers un futur lumineux. » David Mesguich

Reconnaissances effectuées les 7 et 9 mai, pour vérifier que tout est bien en place. Un grand merci à Nicolas d’être venu partager et un grand bravo à lui pour avoir supporté mes approximations et le terrain qui ne lui était pas franchement favorable. Nous avons pu redécouvrir certains villages, loin des routes principales. Nous nous sommes régalés. Mais parfois aussi, nous nous sommes arrachés. Une sacrée journée☀️ !



2019…2020…2021…

Tour VTT du Triangle de la Burle ... (Guillaume, vidéo Jeanne Lepoix)
Nouvelle édition en 2022. Pour les inscriptions, c'est ici.

La Fabuleuse Histoire du Tour des Brasseries de la Loire… (Guillaume)…
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#LeTourDesA.R.B.R.E.S.RemarquablesDeHaute-Loire… (Laurent)
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#TDSDME… Le Tour des Sentiers de mon enfance...(William)
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