2024
08.18

Le Tour de France Femmes, pour 4 infimes secondes !


Résumé

De la ligne d’arrivée du Tour de France où j’ai pris place, ce 18 juillet restera pour moi une journée exceptionnelle mêlant à l’exploit sportif de deux championnes, le suspense insoutenable d’un final haletant et des émotions intenses… Cette année, le Tour de France Femme s’est joué pour 4 petites secondes… 4 petites secondes qui au sommet de l’Alpes et après une semaine de course font toute la différence entre la joie expressive d’une Katarzyna Niewiadoma aux anges et la déception profonde d’une Demi Vollering à qui pourtant le Tour semblait promis.

Parti des Pays-Bas et arrivant à l’Alpe-d’Huez, le Tour de France Féminin aura cette année déjoué tous les pronostiques pour couronner non pas une hollandaise comme cela nous avait été promis mais bien une polonaise qui s’est battu corps et âmes jusqu’au bout, qui s’est battu sans jamais rien lâcher pour décrocher la tenue d’or qui lui va si bien… Un grand bravo à vous, madame Niewiadoma ❤️ !

Bikepacking

Le Tour de France Femmes nous faisant l’honneur d’une arrivée dans la région, je profiterais de l’occasion pour m’y rendre à vélo de Saint Etienne. Trois étapes, une le samedi par la belle région du Vercors et jusqu’à Grenoble, une le dimanche depuis l’hôtel jusqu’au sommet de l’Alpe d’Huez où la reine ce soir sera sacrée, une dernière pour rentrer, au plus facile car fatigué par toutes ces émotions…

Descriptif :

Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Sorbiers (42290)
Difficulté : Haute
Distance : 533km / Dénivelé : 9100m
Durée : 3 jours, étape à Gières, Isère
Sport : Cyclisme Route

2024
08.10

Perséides, aux premières loges ✨

Si vous avez jamais passé la nuit à la belle étoile, vous savez qu’à l’heure où nous dormons, un monde mystérieux s’éveille dans la solitude et le silence. Alors les sources chantent bien plus clair, les étangs allument des petites flammes. Tous les esprits de la montagne vont et viennent librement ; et il y a dans l’air des frôlements, des bruits imperceptibles, comme si l’on entendait les branches grandir, l’herbe pousser. Le jour, c’est la vie des êtres ; mais la nuit, c’est la vie des choses. Quand on n’en a pas l’habitude, ça fait peur… (Les étoiles, Alphonse Daudet)

Cela m’a pris d’un coup… Une idée au moins aussi bête qu’elle est simple à mettre en œuvre… Cette nuit, c’est les Perséides qui est la nuit où il y a habituellement le plus d’étoiles filantes dans le ciel… Et chaque année je me dis qu’il faudrait que j’y assiste, et chaque année, il y a quelque chose de mieux à faire ou à regarder… Ce soir, la France jouera les Etats-Unis au basket en final des Jeux Olympiques… Et ce match, mais je ne le sais pas encore, sera un match d’anthologie…

J’ai choisi cependant de ne pas y souscrire, et d’aller m’isoler sur les hauteurs du Pilat pour la plus belle nuit qui soit… Parti du col du Planil, j’arpenterais d’abord le GR couvert de pavasse qui mène à la Jasserie… Il y a deux mois et demi je me suis fait une entorse grave à la cheville. Et il y a tout juste un mois et demi que je remarche à peu près… Autant dire que la démarche n’est pas très rassuré et que je prend mon temps, pesant à chaque instant l’endroit où je vais poser le pied…

Mais j’atteins tout de même et à la nuit tombé la petite cuvette en contrebas du Crêt de Bote où nous avions bivouaqué avec le frangin il y a un an de cela, pour la lune rose… La tente est vite montée, et c’est assis la tête en arrière que je pique-nique tandis que la lune disparaît derrière la Perdrix, ne laissant derrière elle qu’une nuit noire mais parsemées d’étoiles… Je ne sais plus combien j’en ai compté, je ne sais plus à quelle heure je suis allé me coucher, mais les Perséides à cette altitude sans lumière sont une expérience que je souhaite à tout un chacun… Les yeux perdus dans l’immensité de la nuit, sans repère temporel je me suis perdu. Quelque part entre les constellations d’animaux étranges et ces traits de lumières si éphémères mais si beau…

Et puis je me suis endormi, du sommeil dont les étoiles seules ont le secret.

 

2024
08.05

#InventaireHeureux

Une petite balade d’une douzaine de kilomètres sur le chemin des bords de Loire puis un retour via le plateau de la danse ce n’est certes pas très exceptionnels mais cette sortie compte énormément puisque c’est la première fois depuis l’entorse que je marche en y reprenant presque du plaisir… Les séances de kiné s’enchaînent, la récupération est sur le bonne voie… Et revoir ce spot que j’adore après le boulot me rend particulièrement heureux même si n’aurais pu malgré tout aller beaucoup plus loin… L’important est de retrouver la confiance, et de se faire plaisir… Quand au qui a sauté sur mes baskets alors que je ne m’y attendais absolument pas… c’est pas grave… mais j’ai eu une de ses peurs !!!

2024
07.27

#C’estPasTellementQu’onManqueDeMurs


Résumé

 

Une promenade athlétique entre « l’Ardèche au beurre »

et « l’Ardèche à l’huile »…

Sur les crêtes, « La Volcanique » est loin d’être tendre avec ses 3 320m de dénivelée. Cependant, elle vous fera profiter de toute la diversité des paysages ardéchois : par monts et par vaux, entre « l’Ardèche au beurre » et « l’Ardèche à l’huile ». Le point d’orgue de cette promenade athlétique est sans aucun doute le Mont Gerbier-de Jonc, où la Loire prend sa source. Partez aussi à la rencontre de villages étonnants comme Lachamp-Raphaël, qui niché à 1 329m, domine l’Ardèche.

Une trace menée ce jour à allure douce, en récupération de ma récente participation à l’Ultra’rverne. Une trace superbe, sauvage, une petite sieste à mi-parcours adossée à l’ombre d’un bel arbre… L’Ardèche réservant milles surprises, c’est quelques fresques que je ramène avec moi… Des fresques monumentales, fleuries et tellement inspirantes… 🙂


Fiche

Descriptif :

GPX : C’estPasTellementQu’onManqueDeMurs
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Ardèche
Ville de départ : Saint Félicien (07410)
Difficulté : Haute
Distance : 180km / Dénivelé : 3300m
Durée : 08 heures 08
Sport : Cyclisme Route

 


2024
07.27

Les communes ☘️

Une petite sortie d’une centaine de kilomètres aujourd’hui et toujours cette impression de traîner derrière moi tous les efforts consentis lors de l’Ultrarverne… Cela fait un mois, je ne récupère pas aussi bien que je le voudrais, mais malgré tout, quel plaisir de pouvoir rouler librement à l’ombre des conifères 🙂 !!!

2024
07.06

L’Ultrarverne 2024


Résumé

C’est vrai que moi non plus je n’y croyais plus trop… Être sur le vélo, déjà, et pouvoir rouler à peu près normalement moyennant une pédale un tantinet modifiée et le port continu d’une chaussette de contention et d’une attelle… Et puis comme souvent, le plus gros moment de doutes se révéla être au 200ieme kilomètre, pas au début non, l’enchaînement des cols du #CFC étant toujours grandiose mais après la longue et pénible plaine de la Limagne, et le fort vent de côté qui y soufflait aujourd’hui… La coupure prolongée, le manque de force se faisait évidemment sentir…

Et puis nous avons attaqué les montagnes, que l’on apercevait depuis un moment déjà de l’autre côté. J’étais sec et à sec quand il y a cette dame, en train de balayer sur son palier. Je lui demande de l’eau, elle me répond qu’elle peut ouvrir exceptionnellement le bar, pourtant fermé pour cause de départ à la retraite. Installé sur la terrasse, nous discuterons un moment, de son établissement fermé tout récemment après avoir connu pas moins de quatre générations. Du périple en cours, de la difficulté de trouver des petits commerces dans les villages du coin. Lorsque je suis reparti, je n’étais plus sur le vélo, ni en mode ultra. Ce petit fait sans importance m’avais remis dans le bon sens de la marche, celui du voyage, et des rencontres…

La suite serait désormais un émerveillement… La belle région des Ancizes à la faveur du soir, la nuit vécue parmi les Volcans avec à ma gauche l’installation si brillante du Puy-de-Dôme, qui tel un phare éclairait ma nuit. Une autre rencontre encore, celle d’Almaric, un jeune de région Parisienne avec lequel je termine cette longue étape puis partage pizza et bivouac à Rochefort-Montagne. 290km, 6000m de D+. Le corps avait retrouvé ses automatismes d’avant l’accident… Et j’étais désormais beaucoup plus confiant !

Il est 5 heures lorsque le froid nous cueille sur le bout de trottoir qui nous avait servi de lit… Vite ! Ne pas se laisser engourdir et repartir pour ce qui se présente comme une belle promesse. Car aujourd’hui, nous aurons l’Auvergne… Dans tout ce qu’elle a de joyaux et de plus exceptionnels ! Le Sancy d’abord. Où je regarde Almaric et ses 24 ans s’envoler léger dans les pentes soutenues du col de Guery. Je n’ai pas de jambes… Et pas encore la possibilité d’appuyer jambe gauche sur cette pédale alors je tire davantage sur la droite… Une percée à travers les arbres, un aperçu des roches Tuilière et Sanadoire enflammées par le soleil levant. Après tout, je ne suis pas si pressé…

Le lac, l’hôtel et les montagnes en toile de fond. La Croix-Morand, son spectacle pelé à l’horizon. La Croix-Robert, sa route étroite et tortueuse qui s’enroule dans le relief. J’ai toujours trouvé que le Sancy est un modèle réduit des Alpes… C’est aussi l’un des premiers massifs dans lequel j’ai pu rouler, ce qui lui vaut une place à part ❤️. Ce que je connaissais moins, c’est ce qu’il y a au sud du Sancy. Chasteix, ses arrêtes brunes qui se découpent sur ce vert insolent qui habille la moindre colline. Les villages ensuite. Où je trouve sans les chercher les fontaines qui la veille m’avaient tant manquées… Saint Genest-Champespe, le premier CP. Les copains sont toujours aussi sympa, avec ce don de savoir nous recevoir. Au menu ce midi, Aligot. Il faut bien reprendre des forces…

Devant nous se dresse le gros morceau… Le bien nommé Puy-Mary et ses rampes souvent à 9% et plus qui vous hissent sur le plus vaste volcans d’Europe. Une belle montée. Jamais assis ou presque, et la cheville qui bien que douloureuse tient le choc… 100 mètres encore. Ça y est ! Le Pas de Peyrol longuement approché est désormais derrière moi. Mais les choses ne sont pas finies ! Car les copains nous ont ménagé une surprise… Mauvaises de premier abord, et bonne ensuite… Le col du Pertus, une vacherie inconcevable que les coureurs du Tour franchiront dans quelques jours… Alors avis aux Puncheurs, et les autres n’ont qu’à bien se tenir !

Thiezac, sur l’autre versant. Un snack de d’apparence banal mais qui cache dans son arrière cour une table des plus princières. Là, m’attendent une savoureuse truffade accompagnée d’un pavé de Salers saignant à souhait. Je mange, partageant l’aventure avec mon voisin de table qui a choisi de laisser Strasbourg pour se ressourcer une petite semaine dans le pays… Camping, vélo et chemises à fleurs… Presque 20h, et il me reste encore beaucoup de chemin à faire… Car j’ai dans l’idée d’atteindre Saint Flour et sa base de vie offrant la certitude d’une nuit au sec. 260km. 6000 de D+. Il est 2h du matin et la base encore pourtant très animée… Entre ceux qui arrivent, et ceux qui partent… Je file impatient au dortoir pour me délecter de 2h30 d’un sommeil des plus profond…

Mais déjà il faut repartir, sous un ciel qui nous fait la clémence de premiers tours effectués au sec… La pluie, pourtant, ne tarderait pas à arriver… A Garabit d’abord, où le parcours permet d’observer la riche structure héritée d’Eiffel depuis le bas, et puis d’en haut… Nous grimpons maintenant, vers les plateaux austères et brumeux de la Margeride… Après la chaleur d’hier, l’amplitude est terrible et j’ai bien du mal à avancer… Me débattant, pris dans la nasse que m’a tendue le vent. Et c’est avec un grand soulagement que nous redescendons. Dans la vallée douce et sauvage que l’Allier a patiemment dessiné…

Stop. Voici Peyrataillade. Ceux qui connaissent savent, tandis que les autres comprendront bien assez vite qu’il vaut mieux ici aller à pied… Et ce fut un problème, qu’il fallut gérer pour préserver la cheville s’il était encore possible de le faire… C’est dans cette montée que je fais la connaissance de Pierrick, un pur grimpeur venu du Sancy avec lequel je boucle les cents derniers kilomètres. De belles forêts, l’impressionnante Chaise-Dieu où la pluie redouble pour désormais ne plus nous lâcher. Qu’à cela ne tienne… Nous savions désormais que le but était acquis, que notre allure nous permettrait d’éviter un troisième bivouac un peu trop humide à notre goût…

Ambert. Nous y revenons 61 heure et 51 minutes après en être parti… Un peu plus fatigué mais sans plus. Le vélo, facile lorsqu’on prend son temps. Le vélo facile par rapport à la marche. Le vélo, splendide des Copains. Un podium pour la forme. Une bière qu’on entrechoque, un repas, une courte sieste…

Avant de rentrer, juste à l’heure…
pour demain, aller voter… 😉

Je remercie ici Gaëtan C. mon kiné qui depuis un mois fait tout son possible pour me remettre sur pied, pour me redonner confiance. Je remercie aussi Marie L., qui suite à ma blessure m’a reçu en urgence dans son cabinet et orientée de la meilleure façon qui soit… Ce sont eux qui ont rendu possible ce défi à priori perdu d’avance !

A vous deux, mes anges gardiens ! 

Parcours

2024
06.23

Tour du Lyonnais entre les gouttes️


Résumé

 

Ça passe où ça casse… Voilà comment nous pourrions résumer cette sortie… 4 semaines depuis l’entorse, il en reste 2 avant le début de l’Ultra’rverne… Et si j’ai presque fait une croix sur le grand parcours (780km / 15000m de D+), je ne peux pas encore me résigner à abandonner l’idée d’au moins essayer… Aujourd’hui sera donc le verdict… Ça passe, je me présente au départ et l’on va voir jusqu’où cela peut me mener.. Ça casse, et je me présente au départ pour un parcours hors clou histoire de simplement participer… L’autre objectif est de se réhabituer à la monture, à vérifier que tout dessus fonctionne comme cela devrait… Les vitesses, les freins, le système permettant l’éclairage et le rechargement des appareils… La dernière fois que je l’ai prise, c’était je crois bien au Paris-Brest… La plaque de cadre était, comme par nostalgie, encore fixée dessus… 😉

Et si le temps est maussade et les jambes plutôt absentes, il faut bien avouer qu’avec un peu de patience ça avance et que la danseuse redevient même presque possible… De bon augure alors qu’il y a tout juste deux semaines je pouvais à peine poser pied à terre… Marie et Gaëtan doivent être des magiciens… Car avec 240km et 3600m de D+, ce parcours reste tout de même sacrément difficile même lorsque l’on est pleinement valide… Et si j’en reviens perclus de crampes et de fatigue, je suis plutôt heureux…

Il me reste 15jours. 15 jours que je vais avant tout consacrer au repos et aux nombreux exercices de renforcement que le kiné m’a prescrit. Car si la magie existe, les miracles tombent assez rarement du ciel… Alors on serre les dents, et on va bosser… !

 


Fiche

Descriptif :

GPX : LeTourDuLyonnaisEntreLesGouttes
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Sorbiers (42290)
Difficulté : Haute
Distance : 240km / Dénivelé : 3600m
Durée : 10 heures 46
Sport : Cyclisme Route

 


2024
06.15

#LaClefDesChamps


Résumé

 

Reprise du vélo après 3 semaines de coupure forcée… Physiquement pas si out que ça, et le moral qui fait dans le ♻️. La pédale spéciale entorse adaptée à partir d’une LOOK X-TRACK dont une face a été assouplie par la suppression d’un ressort (plat, montée) et l’autre équipée d’une plateforme (descente) semble fonctionner. Le pédalage rond et sans à-coups suffit à limiter les douleurs d’une cheville bien immobilisée à l’intérieur d’une attelle, reste les trous dans la chaussée qui font remonter des signaux m’imposants de rester vigilant…

La réussite de ce parcours de reprise, long de 150km et fort de 3000m de D+ laissant entrevoir l’ombre d’une possibilité pour l’Ultra’rverne qui approche… Car la kinésithérapie, c’est 50% de soin, et 50% d’envie ! A 2 séances et 2 sorties vélo par semaine, ça va le faire 🙂 !


Fiche

Descriptif :

GPX : LaClefDesChamps
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Sorbiers (42290)
Difficulté : Moyennne
Distance : 154km / Dénivelé : 2900m
Durée : 6 heures 47
Sport : Cyclisme Route


2024
05.26

#DesChevauxDébridés

Il y a des jours où l’on ferait définitivement mieux de rester couché… Car si à moins d’une semaine du raid du Jura j’ai voulu me préserver en privilégiant une petite marche cool autour de chez moi, je me suis fait surprendre. Sur une pierre, posée en bascule et dont je ne me suis pas assez méfié… La cheville qui tourne, et une douleur vive tandis que je me retrouve à terre. La cheville enflée et des hématomes dans chaque orteil… Je devais bien me rendre à l’évidence. Il n’y aurait pas de Jura. A peine cette consolation de ramener avec moi ces beaux chevaux qui m’appelaient à l’aventure…

Et les copains… qui vont avoir la chance de découvrir cette belle traversée…

2024
05.25

#DuRaffyfiAuMeygal


Résumé

 

Il existe des journées dont nous ne profitons pas assez… Des journées rares, où l’esprit d’un groupe, le spectacle des nuages et l’allure d’un pays se noue miraculeusement pour former un tout. Nous sommes le 25 mai, et j’ignore alors que cette sortie sublime initiée par Nicolas sera la dernière pour un bout de temps… Quoiqu’il en soit, la qualité de traceur de Nico a une nouvelle fois fait mouche… Du Pertuiset dont nous sommes partis à ces gorges de la Loire que j’aime tant, du secteur des Sucs unique de part le monde par l’aspect fantastique qu’ils revêt, de ce retour classique par le lac de Devesset et la route de la Saint Bonnette si méritante… De cette efficacité dans notre trio, de cette facilité déconcertante à avaler, groupé, les kilomètres et les difficultés… Je retiens aujourd’hui une trace ornée d’un ruban que l’on dénoue délicatement. Je retiens un spectacle et une journée simple qui ne ressemble à aucunes autres. Je retiens cette idée, l’archive et la partage avec vous sur le site… Car le « CC-Monistrol » qui l’a initialement dessinée aurait certainement voulu qu’on la sauvegarde. Que d’autres puissent à leur tour la découvrir, comme nous nous sommes plu aujourd’hui à la découvrir…

 


Fiche

Descriptif :

GPXDuRaffyfiAuMeygal
Pays : France
Région : Rhône-Alpes
Dépt : Loire
Ville de départ : Unieux (42240)
Difficulté : Moyennne
Distance : 198km / Dénivelé : 3000m
Durée : 8 heures 45
Sport : Cyclisme Route